Sous-titre: Contre l'affre rance UMPS
Un affront au prénom de la France mais au nom d’un pays voisin, épaulé de ses ouailles népotiques
S’adonne aux quolibets piétonniers, l’air fier arborant ses plumes étrangères
Véritable conquête d’un ordre nouveau, celui de l’hydre à 7 flammes, celui du Lévy_Nathan et ses monstres de propagandes.
Alourdis de menaces, le lustre ancien aux Lumières fourvoyées, flamboyant de valeurs souveraines, se fracasse et se laisse malmener.
Une bougie modeste, de bon sens, saigne aujourd’hui sa cire citoyenne en plateau de souffrance partagée.
Pour une égale dignité, une conciliation autour d’une note, Ré-publique.
Tout un service de bronze et d’argent taillé d’héritages nobles, saillis de peines et de misères, empoisonné du mercure politicien.
Cet insaisissable leurre apatride à la surface solide, si brillante, et la teneur liquide, toxique comme un produit financier.
La pluie cynique déguisée en rayon de soleil s’abat désormais pour un rien, un nuage dissident, un degré de trop,
faisant ainsi grimper la contre-culture au 451èmeétage de la potence anglo-saxonne.
Autodafé estival pour rôtir les enfants de la patrie critiques, page par page, mémoire par mémoire,
pour n’en laissé qu’une, ce choix des lâches et des corrompus.
Les nervis s’emparent alors de nos statères antiques et valsent d’anathèmes en jeu de massacre,
pour un puits authentique, un habit de famille ou un signe du bras.
Un règne de brouillard dans lequel les esprits se perdent dans les mailles infécondes,
un abri de Fortune où se tapit la vanité des si petits hommes de grand pouvoir.
Quel manque de place dans ce tiroir rouillé, rongé par ce bestiaire mondialiste, sans poignée à tirer.
Certains veillent, d’autres traduisent ou sympathisent, peut-être bientôt l’envers sera de mise ?
Reste la lenteur de l’orage qui bientôt culmine, et ce tremblement dans nos dents en ruines.
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